À l’issue d’une bataille disputée et d’un nombre particulièrement élevé d’offres, c’est finalement celle du consortium de bijoutiers qui a été choisie le 26 février dernier par le tribunal de commerce de Bobigny.
Le rachat inclut notamment la reprise des actifs français et de plusieurs filiales étrangères, le tout sauvant près de 70 % des emplois du groupe en Europe répartis sur plus de 75 points de vente repris.
Les repreneurs prennent le relais du groupe hongkongais King Power, qui était actionnaire depuis 2006.
Lire l'article consacré à Renaissance Luxury Group dans le dernier numéro de NextStep.