Elle leur a infligé une amende de 24,5 M€ pour s’être entendus, de 2010 à 2016, pour fausser les appels d’offres lancés par des distributeurs.
Il s’agit du premier dossier français dans lequel toutes les parties à la procédure ont déposé des demandes de clémence.
Snacking Services a ainsi bénéficié d’une réduction totale de sanctions de plus de 12 M€, compte tenu de la valeur ajoutée des éléments qu’elle a apportés et de son niveau de coopération.