L’Autorité de la concurrence ayant fait droit à leur demande en avril 2020, elle reconnaissait que la pratique de Google, qui consistait à imposer la gratuité des contenus de presse mis en ligne sur sa plateforme, était susceptible de constituer un abus de position dominante.
En vertu de quoi elle avait décidé notamment de mesures conservatoires, contre lesquelles Google avait engagé un recours en annulation auprès de la cour d’appel de Paris. Celle-ci venant de le rejeter, il advient désormais aux protagonistes de finaliser leurs négociations et de parvenir à un accord.