À la suite de quoi plus de 150 familles avaient initié des procédures individuelles, estimant que leurs enfants avaient développé des effets indésirables.
Bien que faisant aussi valoir un préjudice d’anxiété, elles ont été déboutées, le 8 décembre, de leurs demandes à l’encontre de CSP — exploitant du vaccin en France — des laboratoires Pfizer et Hälsa — fabricants de certains lots incriminés — et de Cilag (qui s’est substitué aux sociétés chargées de la fabrication de la solution et du remplissage des seringues).