Le 2 août dernier, le tribunal de commerce de Paris a validé l’offre de reprise du groupe sidérurgique allemand Saarstahl portant sur les sites en difficulté de l’aciérie Ascoval de Saint-Saulve (270 salariés) et de l’usine de rails d’Hayange (430 salariés).
L’accord prévoit notamment la cession par Liberty Steel, propriétaire depuis moins d’un an, de 100 % du capital d’Ascoval et Hayange au groupe, l’abandon d’une partie de l’endettement des sociétés tandis qu’une autre partie des créances est converti en capital ou rééchelonnée.