Via une offre ferme, valable jusqu’au 30 septembre, il cherche ainsi à faire écho à la volonté de l’énergéticien de mener une revue stratégique de ses participations, dont celle-ci.
En cas d’accueil positif d’Engie et de l’approbation des autorités réglementaires concernées (notamment en concurrence), il lancera dans un délai de 12 à 18 mois une OPA sur le solde des titres de l’opérateur – au sujet duquel Veolia a d’ores et déjà indiqué qu’il revendrait Suez Eau France à Meridiam, pour éviter de se trouver dans une position dominante.
Mais à ce stade, il essuie un refus de la part de Suez, dont le directeur général, Bertrand Camus, qualifie la démarche de « particulièrement hostile » dans un courrier adressé à ses salariés.
Et Antoine Frérot de rétorquer que son projet est « win-win-win ». À suivre…